lonté et pour vivre leur vie, indépendante ; de plus, la notion de progrès en art — qu’il s’agisse de l’art en général ou de son travail en particulier — est écartée : Il n’y a pas de progrès entre l’art néolithique et celui d’aujourd’hui sinon certains changements d’angles de vue — comme en proposent les sculptures-viseurs… A cette époques des années 60, l’idée d’une fin de la peinture est de mise — comme le lui soutient Chris Marker au cours d’une rencontre — malgré l’admiration qu’il lui porte au cinéaste, cela ne le convainc en rien : tout au plus la peinture se déplace-t-elle momentanément dans quelques activités adjacentes. Un sujet dont il aura plus tard l’occasion de débattre largement avec Joan Mitchell.
There is no progress between Neolithic Art and today’s art — at most some shifts in points of vue — as proposed by his Aiming Sculptures... Chris Marker contested, during a meeting, the idea of an “end of painting” — idea which has been recurrent since the sixties, — but did not convince him despite his admiration for the film maker. At most painting swerves temporarily to some adjacent form. He will have animated discuss on the subject with Joan Mitchell.